Oh la la bis répétita

Comme on me l’a fait constater, il arrive que mes idées, mes phrases, mes histoires ne soient pas très claires.
Pour répondre, un peu tardivement c’est vrai, à ta question lectrice assidue, mon vélo a été …. ta daaa… caché. Je l’accroche mal et ils ont pu le « piquer ». Je pensais me l’être fait voler. (Est ce bien français ce que je viens de dire ?)
Bref, le tout c’est qu’ils me l’aient restitué.

Je déteste faire les magasins le mercredi. Avant les fêtes. Avec tous ces gens.
Le pire étant de faire les magasins en cherchant ce que l’on pourrait acheter. Saleté de cadeau à 10€.
Je suis crevée, lessivée, fourbue.

oh la la

je viens de me rendre compte que cela fait presque 3 semaines que je n’ai rien écrit!
Et pourtant j’ai plein de chose à dire… En effet, je ne prends plus le temps de le faire… c’est con..

Aujourd’hui il m’en est arrivé une bien bonne.. Je vais à l’école à vélo. Et j’ai un peu charrié les étudiants et les colleurs medecine.. que n’ai je pas fait :-D
Je vais tranquillement au park à vélo à la fin de mes cours, ma clef de cadenas à la main, prête à affronter le froid lyonnais… Et là ! mon esprit me joue un tour, ce n’est pas vrai.. Où est mon vélo? Il y a effectivement deux vélos, deux rouges.. je me dis, je sais de source sûre que mon vélo est noir.. :-D
Sans blague, la seule chose qui me soit venue à l’esprit c’est « je suis sûre d’avoir un vélo noir, or il n’y a pas de vélo noir »
Peu de temps après, je vais voir la directrice pédagogique et elle se marre en me disant, non sans avoir attendu un peu avant de le faire, qu’il s’agit d’une blague des étudiants médecine. Saligauds ! Je me vengerai !!! :D C’est clair que j’ai ri mais un peu jaune au début :-P

Par contre, mon je déteste du jour est celui là. Je déteste les fanatiques, les religieux surtout. Putain, mais faudrait que toutes les femmes d’Irak se barrent. Je parle d’Irak par rapport au billet qui concerne Bassora. En fait, je déteste que la religion devienne ça. Je déteste les hommes qui se servent de la religion pour asseoir ce genre de faits expliqués comme inhérents à une loi divine et donc transcendantale: la femme n’est rien.
Ouais… c’est ça…