Ce soir, je suis sur un site absolument génial. J’ai eu le lien en cours de Psychologie Cognitive.
Qu’est ce que la psychologie cognitive? quel est son objet d’étude? Et bien il se situe entre l’environnement et le comportement, c’est à dire entre les stimuli de l’environnement et les comportements qu’ils soient verbaux, moteurs, les états affectifs. Il faut donc expliquer et décrire le fonctionnement, les mécanismes de la cognition, l’acquisition des différentes connaissances, leur stockage, leur transformation, leur utilisation. Sujet ô combien intéressant!
Dans un premier temps nous travaillons sur les perceptions, l’organisation perceptive. Il y a pleins de lois, et j’avoue que ce n’est pas le but de mon billet.
Ce qui est intéressant, c’est que des fois on croit « percevoir » des choses, que le cerveau nous joue des tours. Ce sont les illusions d’optique pour une grande part, et puis d’autres bizarreries, dues parfois à une attention sélective : on ne prête attention qu’à des choses utiles… et des fois on loupe pleins de détail. Une vidéo était passée sur Koreus.com, elle m’avait déjà amusée.
Il s’agit ce soir d’un autre type de vidéo : je vous laisse regarder. Il faut regarder les petits clips et essayer de trouver ce qui « change ». C’est par ici!
Question fondamentale (énième)
Est-ce un pléonasme de dire que triste est une constatation?
Puis-je dire sans faire de redondance « j’ai fait une triste constatation? », dans la mesure où j’entends rarement dire « j’ai fait une chouette constatation »! Est-ce que faire une constatation n’est pas déjà en soi triste? Voulait-on vraiment constater les faits?
Bref… j’ai fait une (triste) constatation : ce que je n’aimais pas qu’un de mes ex (ce qui ne veut pas dire qu’il y en ait eu légion) fasse, bin je le fais à Namoureux.
C’est horrible.
Autrefois, il y a de cela bien longtemps, vivait une jeune fille qui se désintéressait complètement de ce que son ami lui racontait. Cela arrivait au début, peu souvent… mais le temps était sans pitié, et ce qui n’était que passager devint coutumier. Son ami lui racontait ses journées, ce qu’il faisait lors de ses journées de travail et cela la barbait. Franchement et de pire en pire. Au début, elle feignait s’intéresser à ce qu’il racontait… puis petit à petit les regards fuyaient, l’attention était ailleurs, les pensées suivaient… Elle ne sut pas s’il s’en était rendu compte… ils rompirent.
Retrouvons cette jeune fille quelques années plus tard : il lui arriva ce qu’il y a de mieux, elle s’intéressait à quelque chose, elle en était presque passionnée et ne tarissait pas d’éloge quant à cette nouvelle lubie (?)…et elle se mit à en parler, voulant à tout prix partager ses connaissances et son enthousiasme.
Elle se rendit compte que cela pouvait (elle n’ose pas imaginer que c’est trop tard) sérieusement gonfler son Namoureux.
Elle se jura alors de minimiser l’impact de sa nouvelle affection : moins elle en dira, mieux ça sera.
Mais se connaissant, c’est mission presque impossible :-D
Je déteste me rendre compte que -en fait- je suis quelqu’un de bordélique.
Des fois je m’en sors presque… mais souvent, je m’entoure de boxon.
Après je parle de mes fils….. les chiens, les chats… vous connaissez :-D
Lettre à un ami,
Normalement je ne devrais pas le faire.
Ce qui est finalement de l’ordre du non-sens. J’écris sur un blog des choses qui me concernent, des choses intimes.
Mais en même temps, le lecteur qui ne me connait pas, ne voit que des images floues, des Polaroïds mal cadrés : il ne voit que des scènes et ne juge que des extraits.
Pourquoi ne devrais-je pas écrire une lettre à un ami? Puisque seul ce dernier saura exactement de quoi il s’agit, pourquoi ne pas le faire? Est-ce que c’est plus intime que ma vie?
Cela relève plutôt de la vie de mon ami, justement. Non?
Est-il d’accord? A-t-il seulement le choix?
Est-ce que ces articles ne sont pas en soi, des lettres à des amis, à des anonymes?
Le jaune : Encore une fois, bon anniversaire!
Tout à l’heure nous avons regardé avec les zenfants « Bee Movie ». Et là promis, on a pensé qu’il fallait que tu le vois ce film : ne serait-ce que pour les premières minutes du film… :D
Je déteste quand j’ai le choix. Deux situations s’offrent à moi et toutes les deux sont sympas.
Il s’agit d’un choix difficile à faire. D’autant que ce n’est pas pour des choses anodines.
Par contre, une fois n’est pas coutume, même si je pense l’avoir déjà fait, j’ai un « j’aime beaucoup » :
La semaine dernière Granfils a fait un stage à l’hôpital pour une réintroduction à l’arachide.
Granfils peut maintenant manger des cacahouètes sans risquer de mourir. C’est bien!
En effet, il n’a pas fait de réaction.
J’espère un jour pouvoir dire la même chose pour les oeufs et surtout le Lait!!!