Ne cherchez pas ! Il ne s’appelle pas vraiment comme ça.. je l’appellerai bien volontiers Charlo!
Ce matin, cours sur la reproduction. Je ne sais pas si c’était vraiment ça: Difficile pour lui de garder son sérieux, il nous a même parlé de zizi, de Rocco qui ne lui faisait pas tant d’ombre que ça: 12 cm suffisent :-D
En tout cas, Cha(r)po le mec! je me demande comment ses pics de testostérone (4 heures de Bio, il en a eu pas mal !) ne l’ont pas excité à mort, ce vieil obsédé :-D

J’adore son air offusqué quand il nous parle de la méthode Ogino (orthographe à vérifier): la femme doit se lever à 7h du mat’ tous les jours MÊME le OUIKENE !!! pour prendre sa t° !!! parce qu’elle en a peut-être marre du 8ème !! (en parlant de « petits »)

Bref, ses cours, c’est trop. Trop quoi, je ne sais pas.. mais trop c’est sûr.

Hier,j’ai appris que:

Les mouchoirs sont communément appelés « Tire-Jus » dans le pays de ma CoupinettePouetPouet ;-)

Edit Le 7 février Dernière phrase supprimée. Des fois, vaut mieux ne rien dire que d’être mal comprise.

Ce matin je fais quelques tests culture générale, et l’une des questions portait sur l’actrice ayant joué aux côtés de Charlie Chaplin dans « Le Dictateur », j’ai nommé Paulette Goddard. Dans ce questionnaire, il y a quelques phrases accompagnant les réponses et pour cette question il y a:
« Une dictature est un régime politique qui concentre les pouvoirs entre les mains d’un seul homme, d’un seul clan ou encore d’un seul parti. Le plus souvent, pour se maintenir, la dictature est synonyme de peur, violence, répression et censure. »
A quelque chose près, manque plus que la censure… quoi que, qu’est la censure de nos jours ?

Je déteste mes hormones. Je les déteste vraiment. A mon insu, elles me dirigent, me calment ou m’exaspèrent, me font dire des conneries, me font réagir ou pas, guident et me volent mes pas. Et dire que l’on croit être maitre de soi. Tu parles!

Tiens donc, une bien bonne:

« Il faut prendre l’argent là où il est : chez les pauvres. Ils n’ont pas beaucoup d’argent mais il y a beaucoup de pauvres », de Sieur Alphonse Allais (1854-1905)