Question fondamentale (énième)

Est-ce un pléonasme de dire que triste est une constatation?
Puis-je dire sans faire de redondance « j’ai fait une triste constatation? », dans la mesure où j’entends rarement dire « j’ai fait une chouette constatation »! Est-ce que faire une constatation n’est pas déjà en soi triste? Voulait-on vraiment constater les faits?

Bref… j’ai fait une (triste) constatation : ce que je n’aimais pas qu’un de mes ex (ce qui ne veut pas dire qu’il y en ait eu légion) fasse, bin je le fais à Namoureux.
C’est horrible.

Autrefois, il y a de cela bien longtemps, vivait une jeune fille qui se désintéressait complètement de ce que son ami lui racontait. Cela arrivait au début, peu souvent… mais le temps était sans pitié, et ce qui n’était que passager devint coutumier. Son ami lui racontait ses journées, ce qu’il faisait lors de ses journées de travail et cela la barbait. Franchement et de pire en pire. Au début, elle feignait s’intéresser à ce qu’il racontait… puis petit à petit les regards fuyaient, l’attention était ailleurs, les pensées suivaient… Elle ne sut pas s’il s’en était rendu compte… ils rompirent.
Retrouvons cette jeune fille quelques années plus tard : il lui arriva ce qu’il y a de mieux, elle s’intéressait à quelque chose, elle en était presque passionnée et ne tarissait pas d’éloge quant à cette nouvelle lubie (?)…et elle se mit à en parler, voulant à tout prix partager ses connaissances et son enthousiasme.
Elle se rendit compte que cela pouvait (elle n’ose pas imaginer que c’est trop tard) sérieusement gonfler son Namoureux.
Elle se jura alors de minimiser l’impact de sa nouvelle affection : moins elle en dira, mieux ça sera.
Mais se connaissant, c’est mission presque impossible :-D

Je déteste me rendre compte que -en fait- je suis quelqu’un de bordélique.
Des fois je m’en sors presque… mais souvent, je m’entoure de boxon.
Après je parle de mes fils….. les chiens, les chats… vous connaissez :-D