C’est franchement horrible le lundi. Cette journée est très dure, psychologiquement. Le ouikène ne me suffit généralement pas pour me reposer: j’essaie de dormir, de profiter de mon namoureux, de faire les courses, de travailler un peu les cours, voire travailler beaucoup mes cours, de jouer à la ds, de regarder un peu la télé, d’imaginer que je voudrais bien aller au ciné, de faire un gommage, de prendre un peu soin de moi, et quand les enfants sont là.. bin tout ça plus m’occuper d’eux sans me décharger complètement sur Namoureux. Le Lundi, je me réveille un peu à l’envers. Le réveil bibippe et je le maudit: il sonne le glas d’un sommeil qui je voudrais réparateur, substantiel. Que nenni.
Le Lundi, c’est dur. Mais le pire étant après la pause dèj. C’est franchement inhumain. Nous avons la même prof, toute la journée. Et elle est, comment dire… un peu trop gentille. Elle fait son cours, tout doucement, sans s’abîmer la voix, tranquillement.. elle n’a pas 15 de tension, ce n’est pas possible. Et lors de la digestion, c’est trop. J’ai failli m’endormir. Et c’est nul. Parce que son cours est important. Malheureusement, on doit être au point pour les résumés de texte lu. Et lors de la lecture, très douce au demeurant… c’est difficile de lutter. Bref, c’est horrible, le lundi.
Je déteste voir mon plus jeune fils pleurer à chaudes larmes. Pleurer et me faire un gros câlin de tristesse. C’est pénible de ne rien pouvoir faire. Je déteste mon impuissance. Je déteste ce qui le fait pleurer, la tristesse d’un enfant de trois ans, c’est terrible.
Des news de noeil-noeil: Ma paupière tressaute toujours autant. DEs fois cela m’exaspère (en fait ça me fait chier, à chaque fois) et puis des fois, je me dis que cela va passer. Je dois être un peu tendue et ça ira mieux après les concours. J’ai néanmoins un rdv chez l’ophtalmo le mois prochain. On verra bien si d’ici là je n’ai pas exorbité mon oeil avec une petite cuillère. :-D